Les relations octroyant le statut d’hériter
– Le mariage : l’époux hérite de son épouse et vice-versa.
– Le lien de parenté (particulier) :
Ascendants (paternité : père, mère, grand-père…) – On utilise souvent l’expression : waa inn ‘ala
Descendants (postérité, filiation : fils, fille, fils du fils…) – On utilise souvent l’expression : waa inn nazzal
Collatéraux (fraternité et plus : frères, sœurs, oncle paternel…)
– L’affranchissement de l’esclave donne le droit de l’hérité en cas d’absence d’héritier légal en lien avec lui. Lorsque le maître affranchi un esclave, quand l’esclave sera mort et qu’il n’a pas de famille, c’est l’affranchisseur qui héritera de son argent.
Tous les héritiers sont classés dans une de ces trois catégories.
En ce qui concerne l’orphelin, il ne peux hériter, par contre il peux recevoir une donation du vivant de la personne.
Situation au Maroc : Un homme à trois fils, et parmi eux il y a un fils qui à une femme et des enfants. Et le fils meurt avant son père. Normalement les enfants du fils n’hérites pas de leur grand-père car le grand-père a déjà des fils, et qu’en plus de cela il est encore en vie donc pas d’héritage pour le moment possible. Et bien souvent, le ‘Ourf Maghrébin c’est d’écrire la part de leur père comme ci il était là au moment de la mort du fils.
Mais on n’appellera pas cela de l’héritage mais une donation. Cela fait donc parti de Al-Wassiyah, ce ne sont pas des ayants-droits mais des légataires.
Donc les enfants du défunt ont profiter d’un droit légué dans un testament, mais il n’avait pas de droit légal, sachant que ce droit légué dans le testament si il dépasse le tiers, il sera soumis à l’acceptation des autres héritiers. Si ils acceptent, on donne entièrement. Si ils n’acceptent pas on donne que le tiers.